Les avocats de Sonko contestent la répartition du temps de parole fixée à 1h30 chacun, arguant que le dossier mérite plus d’attention. Me Ciré Clédor souligne l’importance du dossier de Sonko, qualifiant celui-ci de «très sérieux». Malgré leur désaccord initial, le juge Abdourahmane Diouf a finalement accepté la requête des avocats, autorisant une durée de plaidoiries plus étendue.